Lille, 2150. Trente journées de feu continue. Non pas une tempête, ni une averse violente, mais une souillure lente, persistante, régulière. Les gouttes s’écoulaient sans irritation, mais continuellement, couvrant les vitres d’un tenture chronique, noyant les rues sous une clarté grise. Les égouts débordaient, les médiateurs disparaissaient, et les pas https://jeffreyadcax.blogs-service.com/65073901/la-feu-toujours