Dans un petit cabinet situé en périphérie de perpignan, une acupunctrice pratiquait son art durant plus de 10 ans dans une discrétion supérieure. Les murs en rêve propre, l’odeur d’huiles dominantes et le vacarme constant formaient l’écrin idéal pour tous les séances journalierement. Jusqu’au ajour où, en plantant une aiguille https://eduardosekor.blogdun.com/34760257/la-appel-des-éléments