Dans un petit cabinet basé en périphérie de plagnes, une acupunctrice pratiquait son art depuis plus de dix années dans une discrétion omnipotente. Les murs en intention soigné, l’odeur d’huiles prédominantes et le calme constant formaient l’écrin parfait pour les séances chaque jour. Jusqu’au aube où, en plantant une aiguille https://israelfwlzl.idblogz.com/34584981/la-la-première-pulsation