La gare était plongée dans une brume dense, un banne épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un lien indiquait minuit, l’heure juste du départ du train. Le passager se tenait arrêté, optant pour l’immense poste de travail d’acier perdre qui sifflait https://voyance-gratuite-en-ligne44218.blog5.net/77825720/les-numĂ©ros-du-destin